Rapport d’impact annuel 2021

Dons Facebook et commémoratifs

Collecte de fonds Facebook avec Denise Comeau

L’artiste Denise Comeau est au stade de sa vie où elle se débarrasse de « babioles », donc elle ne veut pas de cadeaux pour ses anniversaires ou d’autres occasions. Pour son dernier anniversaire, elle a saisi l’occasion offerte par Facebook de faire un prélèvement de fonds pour l’organisme de bienfaisance de son choix. Denise a choisi la Fondation de l’hôpital de Yarmouth, qu’elle soutient aussi par un don mensuel.

L’avis a été publié sur sa Timeline, et ses amis et sa famille n’avaient qu’à cliquer sur un bouton et suivre les instructions pour faire un don à la Fondation en son honneur.

« C’est très facile et 100 % de l’argent va directement à la Fondation. Ma collecte de fonds a amassé un peu plus de 300 $ », déclare Denise. Sa fille, Ghislaine, qui a survécu à un cancer, a aussi fait une collecte de fonds sur Facebook et a récolté 780 $ au cours des deux premières heures. En tout, elle a recueilli 2 450 $.

« Je le ferai certainement chaque année maintenant, souligne Denise. C’est très important. Si vous ne pouvez pas soutenir votre hôpital, qui pouvez-vous soutenir ? »

Denise et son partenaire, le Dr Kenneth Deveau, vivent à Comeauville sur la ferme équestre familiale. Kenneth siège au conseil d’administration de la FHY. Denise est une peintre et graveuse. Ses aquarelles sont inspirées par le paysage et l’expérience acadienne. Pour voir ses oeuvres en ligne, visitez denisecomeau.com.

 

Cadeaux commémoratifs avec Gladys Bower

Gladys Bower croit fermement qu’il faut donner localement. « Tellement de gens veulent que vous fassiez des dons à une variété de causes, explique Gladys, mais à un moment donné j’ai décidé de faire des dons commémoratifs à la Fondation de l’hôpital de Yarmouth parce que tout le monde aura besoin de l’hôpital à quelque temps. »

Gladys entretient un lien étroit avec l’hôpital régional de Yarmouth. Elle a commencé à faire des quarts de travail de quatre heures un jour par semaine au bureau d’information en janvier 1996, à peine quelques mois après avoir pris sa retraite de Service Canada. Peu après, elle a aussi commencé à travailler à la boutique de cadeaux gérée par les Dames auxiliaires. Elle a choisi de faire son travail bénévole à l’hôpital parce que son frère a travaillé dans le laboratoire pendant 30 ans. Lorsqu’elle a commencé, le « nouvel » hôpital était seulement au stade de la planification et le bureau d’information se trouvait dans le bâtiment C, à côté d’où se trouvent maintenant les services de chirurgie de jour et de réadaptation.

« Nous n’aurions pas l’équipement que vous avons si la Fondation ne l’avait pas acheté, et nous avons besoin de tout l’équipement que nous pouvons avoir », souligne-t-elle.

Même si Gladys n’a pu travailler au bureau d’information pendant un certain temps à cause de la pandémie, l’hôpital est resté dans son coeur et dans son esprit. Elle continue de se souvenir de l’hôpital en faisant des dons à la Fondation, à la mémoire d’amis décédés et en l’honneur de sa famille à Noël.

Gladys Bower vit à Dayton.